Artéfacts générés par notre intelligence

La question peut surprendre : l’homme et son intelligence forment un tout, issu des lois de l’évolution (ou, pour certains, de la volonté d’un Créateur). L’intelligence devrait donc, comme tout organe ou toute fonction innée, œuvrer pour le bien de l’espèce et du milieu qui en garantit la survie, comme on l’observe pour l’instinct chez les animaux dans un écosystème.

Il est pourtant évident que l’homme peut créer, grâce à son intelligence, toutes sortes d’artéfacts et de situations nouvelles auxquelles ni lui ni son biotope ne sont adaptés. L’accumulation de ces artéfacts peut constituer finalement une véritable menace pour l’ensemble des écosystèmes et pour lui-même. Par exemple les pesticides pour l’agriculture, les CFC pour nos réfrigérateurs, le mercure pour nos dents et notre or…

D’où la question suivante : est-ce le fonctionnement naturel du psychisme humain qui conduit à cette contradiction avec les lois de l’évolution, ou plutôt certains dysfonctionnements qu’il s’agirait alors de définir et d’expliquer ?

à cette question clé que l’écogénétique humaine tente d’apporter des réponses objectives et sans concessions, quitte à gêner bien des susceptibilités…